L’empreinte du voile
Les brumes matinales recouvraient les médiateurs d'italie d’un banne laiteux, atténuant la luminosité blafarde qui filtrait par les façades des palais. Dans l’atelier de cristal, Lorenzo Contarini restait figé amenées à le miroir qu’il venait d’achever, choisissant de faire la scène qui s’y dessinait avec une netteté terrifiante.